jeudi 17 novembre 2011

For those who are not afraid to cross borders, to go in the wild.

The opening of my exhibition at Le Bourget take place on Friday, from 19h. Pour venir, le plus facile est gare du Nord / RER B / Le Bourget / La rue en face de la gare à 50 mètres.

"À nos grands hommes". ©PASCAL BAUER COURTESY SCHOOL GALLERY PARIS
PARISVernissage le 18 novembre à 19H
18 novembre au 7 janvier / Centre Culturel André Malraux / 10 avenue Francis de Pressensé / Le Bourget / Tél.0148385014


lundi 31 octobre 2011

Exposition à la capsule. du 18 novembre au 7 janvier


" Pascal Bauer est en résidence à La Capsule depuis mars 2011. A la lisière de plusieurs disciplines, il développe un univers singulier où le mélange des genres, l’hybridation et le détournement des objets créent une esthétique fascinante et déroutante, avec cependant toujours en fil rouge la figuration du corps montrée ou supposée.
Pascal Bauer n’est pas photographe, mais son travail artistique passe souvent par une étape photographique. Comment un artiste, pour qui la photo ou même la formalité d’une œuvre ne sont une fin en soit - en dehors du sens qu’il y a à transmettre - utilise-t-il la diversité prodigieuse des outils photographiques dans son travail ? De la photo qui n’est que témoignage d’un aphorisme mis en scène à la photo torturée par l’informatique, de celle qui, multipliée, s’organise en vidéo, fragment d’un objet plus complexe, à l’image de synthèse qui se veut photo, du portrait reportage pastiche à l’application sur des supports incertains : le seul fil conducteur de ces divers usages techniques est de servir un questionnement. L’exposition à La Capsule a pour but de retracer cette diversité d’usage."


Vernissage le 18 novembre à 19H
18 novembre au 7 janvier Centre Culturel André Malraux 10 avenue Francis de Pressensé 93350 Le Bourget Tél.0148385014

Avec tous mes remerciements pour leur aide précieuse à:
la société RERO : spécialisée en impression numérique grand format et confection de supports d’affichages;
René Jacques : photographe;
L'équipe de La Capsule, et les premiers modèles qui ont posé pour moi pour le projet "Objets d'égo"en me donnant un maximum dans l'incarnation de leurs personnages: Léonard Mercader, Bernard Clance, Frédéric Rueff.




"L'odeur des corps" ©PASCAL BAUER COURTESY SCHOOL GALLERY PARIS

vendredi 21 octobre 2011

"Ne jamais laisser vos enfants seuls" présentée par Olivier Castaing sur chic art fair du 21 au 24 Octobre.


Après un intense travail de mise au point technique, voici une première installation réalisée dans un matériau qui n'a pas l'habitude d'être manipulé avec tant de liberté.

Pourquoi cette focalisation soudaine sur ce matériau, alors qu'en général la matière n'est jamais ,ni un point de départ, ni un enjeu pour moi?

Le PVC souple calandré est principalement utilisé pour réaliser des jouets ou des publicités gonflables. Il évoque un monde d'erzats fragiles et jetables, vulgairement et douceâtrement oniriques, d'une schématisation extrême, voir logotype. Des figures autocentrées, dons la grossière fabrication amplifie la candeur.
Mon intuition première était de faire de ce matériau, le point central d'un antagonisme entre ces valeurs et des scènes d'une violence latente ou effective, empruntes du réalisme et de l'instant photographique et en dualité avec un extérieur non vu mais impactant.


©PASCAL BAUER COURTESY SCHOOL GALLERY PARIS

Cette première installation est présentée par Olivier Castaing/School Gallery, sur chic art fair, du 21 au 24 Octobre.


"Le Vol" à la gaîté lyrique par Digitalarti

©PASCAL BAUER COURTESY SCHOOL GALLERY PARIS
"Le Vol" est présenté à la gaîté lyrique par Digitalarti, dans le cadre d'une exposition d'art numérique, jusqu'au 22 octobre au Creative Shop Amusement.

samedi 25 juin 2011

En résidence de production à Niort pour le "cercle"


©PASCAL BAUER
L'entreprise Créatec, est une entreprise métallurgique intervenant sur de nombreux champs techniques de la construction ou de la sous traitance métallique. Je n'en connaissais pas les gérants il y a encore quelques semaines. Ils ont la gentillesse de m’accueillir pour la réalisation du "Cercle" Oeuvre coproduite par Arcadi ( Région Ile de France).




Fin d'année 2010 j'obtiens un financement d'Arcadi pour réaliser une pièce semi-monumentale, utilisant un concept que j'ai développé ces dernières années, mettre en mouvement un écran en synchronisation à l'image qu'il diffuse.
Les premières pièces étudiées dans cette direction avaient pour but de faire exister une forme de symbiose image machine, métaphore de notre enfermement dans des mécaniques psychologiques ou sociales.
Cette nouvelle pièce poursuit cette recherche. Elle présente un écran de trois mètres de diagonale porté par une forme de véhicule, lui-même arrimé, par un câble qui lui sert de cordon d'alimentation, à un point autour duquel il tourne.
L'objet peut donc décrire des cercles autour de ce point en tournant dans un sens ou l'autre.
Le système est sonorisé.
Sur l'image, un taureau à une échelle anthropomorphique, va vivre, sans jamais pouvoir s'échapper de ce cercle, piste de cirque, arène. Il s'accommode plus ou moins de sa servitude, dans un comportement allant de la passivité à la rébellion, sa puissance physique restant sans impact vis-à-vis de la contrainte invisible qui le maintien à sa place, mais qui lui permet d'exister et de se mouvoir. La machine l'enferme, mais sans elle, il n'est pas.
Ses mouvements, ses rebuffades sont parfaitement coordonnées aux mouvements du chariot qui régulièrement s'arrête, hésite, repart dans le sens inverse, revient et reprend sa course.
La fluidité de sa course est approximative. Elle découle d'un photomontage qui ne cache pas toujours sa maladresse.
Le chariot, dont la fonction première est de mettre en évidence l'écran, porte celui-ci au ras du sol. Il l'encadre de deux larges roues extrêmement profilées, le tout dans une légère inclinaison qui rajoute à la dynamique de l'ensemble. Derrière l'écran, la machine se rétrécit rapidement, l'ensemble pouvant vaguement évoquer la forme d'un tube cathodique.

Cette pièce fait appel à un travail photographique qui recompose le mouvement pour en faire un film. Elle fait appel à une programmation informatique sous processing qui va générer instantanément les films, de façon partiellement aléatoires et en fonction de données captées. L'animal va donc avoir un véritable comportement, en particulier dans le cycle des heures, mais aussi en relation avec la présence d'un publique et le comportement de celui-ci.

dimanche 8 mai 2011

La Foule sera présenté au festival "Bouillant"



La Foule, 2009. ©PASCAL BAUER COURTESY SCHOOL GALLERY PARIS

"La Foule" sera présenté au festival "Bouillant"

Sur une poutre de sept mètres de long, un écran  glisse. Il contient un personnage qui marche.
Les déplacements de l'écran sur la poutre se substituent au vas et viens du personnage dans une synchronisation précise. L'homme est enfermé dans la mécanique qui lui permet d’exister.


À chaque édition, Bouillants s’approprie un thème. Après Un regard sur la nature en 2009 et Voir, se voir et être vu en 2010, le thème de Bouillants #3 est Corpus Numerica – Le corps dans le numérique.
Le corps s’y retrouve sujet, objet et lieu d’expérimentation technologique, ou comment numérique et corps s’interpénètrent. Le sujet n’est pas anodin !
Ce thème revendique l’attention particulière portée à ne pas se laisser séduire par un trop-plein de technologie. Le corps est, depuis l’origine des arts numériques et, a fortiori de tous les arts, source de questionnements, de troubles, de phantasmes… Ce qui nous donne l’opportunité de présenter une grande diversité de productions, tant dans les contenus que dans la forme.
Par la présence des artistes et/ou de leur travail, par le biais de monstrations, ateliers, productions et créations, nous voulons favoriser un regard d’analyses, et nourrir une acuité citoyenne responsable.
À l’occasion de cette édition 2011, nous donnons des espaces d’expression et de rencontre à près de 20 artistes internationaux (Japon, États-Unis, Allemagne, Grande-Bretagne, Suisse, France, etc.)

samedi 12 mars 2011

En résidence photo au Bourget.

©PASCAL BAUER COURTESY SCHOOL GALLERY PARIS

Double objectif à cette résidence, préparer les visuels de ma prochaine exposition personnelle à la school gallery et monter pour la capsule une exposition qui décrit le travaille photographique d'un plasticien, pour qui la photo n'est pas une finalité mais une étape dans une multitude de processus différents.

vendredi 7 janvier 2011

Une aide à la production a été attribuée au "Cercle" par Arcadi

Fin d'année 2010 j'obtiens un financement d'Arcadi pour réaliser une pièce semi-monumentale, utilisant un concept que j'ai développé ces dernières années, mettre en mouvement un écran en synchronisation à l'image qu'il diffuse.
Les premières pièces étudiées dans cette direction avaient pour but de faire exister une forme de symbiose image machine, métaphore de notre enfermement dans des mécaniques psychologiques ou sociales.
Cette nouvelle pièce poursuit cette recherche. Elle présente un écran de trois mètres de diagonale porté par une forme de véhicule, lui-même arrimé, par un câble qui lui sert de cordon d'alimentation, à un point autour duquel il tourne.
L'objet peut donc décrire des cercles autour de ce point en tournant dans un sens ou l'autre.
Le système est sonorisé.
Sur l'image, un taureau à une échelle anthropomorphique, va vivre, sans jamais pouvoir s'échapper de ce cercle, piste de cirque, arène. Il s'accommode plus ou moins de sa servitude, dans un comportement allant de la passivité à la rébellion, sa puissance physique restant sans impact vis-à-vis de la contrainte invisible qui le maintien à sa place, mais qui lui permet d'exister et de se mouvoir. La machine l'enferme, mais sans elle, il n'est pas.
Ses mouvements, ses rebuffades sont parfaitement coordonnées aux mouvements du chariot qui régulièrement s'arrête, hésite, repart dans le sens inverse, revient et reprend sa course.
La fluidité de sa course est approximative. Elle découle d'un photomontage qui ne cache pas toujours sa maladresse.
Le chariot, dont la fonction première est de mettre en évidence l'écran, porte celui-ci au ras du sol. Il l'encadre de deux larges roues extrêmement profilées, le tout dans une légère inclinaison qui rajoute à la dynamique de l'ensemble. Derrière l'écran, la machine se rétrécit rapidement, l'ensemble pouvant vaguement évoquer la forme d'un tube cathodique.

Cette pièce fait appel à un travail photographique qui recompose le mouvement pour en faire un film. Elle fait appel à une programmation informatique sous processing qui va générer instantanément les films, de façon partiellement aléatoires et en fonction de données captées. L'animal va donc avoir un véritable comportement, en particulier dans le cycle des heures, mais aussi en relation avec la présence d'un publique et le comportement de celui-ci.